La cabane Décosterd
Seule cabane d’écrivain à être située en amont de la Fondation, côté Jura, elle est placée en lisière de canopée avec une vue sur le coteau, la forêt qui descend en pente douce et la campagne alentour.
A l’intérieur, le rez-de-chaussée se compose d’une cuisine, d’une salle à manger et d’un espace de travail, et la partie supérieure de la chambre et de la salle de bain. On y accède par un escalier se frayant un chemin au travers du moucharabieh qui sépare l’espace de manière verticale. Voir sans être vu, préservation de l’intimité.
L’extérieur se distingue par un toit à deux pans, que l’on retrouve inversé sous l’habitation. Une grande baie vitrée occupe l’une des quatre faces de la cabane ; sur les autres côtés, des ouvertures sont masquées par des panneaux blancs en acier zingué sur lesquels figure un texte en morse :
« En plus de la simplicité, nudité », Henry David Thoreau, in Walden ou la vie dans les bois