Carte blanche à Myriam Wahli : «Le seul art qui vaut est celui qui permet de soigner»

Jeudi 2 juillet 2020 de 18h30 à 19h30

Les jeudis en résidence à la Fondation Jan Michalski

Chaque premier jeudi du mois, de 18h30 à 19h30, un écrivain en résidence vous ouvre une fenêtre sur son travail, ses univers et ses motifs, selon une forme libre d’intervention.

Une heure en carte blanche à partager, suivie d’une verrée.


Rendez-vous #16 Carte blanche à Myriam Wahli

« Le seul art qui vaut est celui qui permet de soigner »

Dans ses écrits, Myriam Wahli, actuellement en résidence à la Fondation Jan Michalski, s’efforce toujours à nouveau de faire sien l’adage jodorowskien qui dit : « Le seul art qui vaut est celui qui permet de soigner. »

Son premier roman, Venir grand sans virgules, raconte les couches de sens et de valeurs que les adultes badigeonnent sur les gens, les choses, le monde, et dont une enfant se rit, qu’elle reçoit de plein fouet, aussi. Lorsque le père perd son travail, la structure familiale et son système de valeurs s’effrite. Ses thèmes de prédilection sont l’étiolement des structures de tous types auxquelles on s’identifie, ce qui se passe en dehors des normes, l’insatiable besoin d’union avec autrui et le grand tout, les peurs qui freinent, la perte et la possibilité de se recomposer en mosaïque.

L’auteure parlera de son processus d’écriture, qui consiste, notamment, à déplacer géographiquement des événements plus ou moins vécus en propre, afin de les fictionnaliser. Puis elle lira des extraits de trois textes : le roman Venir grand sans virgules, le projet sur lequel elle a travaillé durant sa résidence intitulé La Plaine, et enfin un poème en prose, Frontière Pyjama.


Rendez-vous en français

Entrée libre | Sur inscription à jeudi@fondation-janmichalski.ch

Bibliothèque de la Fondation Jan Michalski


Nota bene
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